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Après le Lac Nasser,
nous pénétrons sur les terres
des Pharaons Nubiens, de Wadi Halfa à
Dongola. Des paysages magnifiques nous
entourent, la population est excessivement
accueillante.
De l'autre côté du Nil une
ancienne forteresse Chrétienne,
vieille de plusieurs centaines d'année.
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Geoffroy en train de se
rafraîchir le visage dans le Nil.
Nous venons de camper avec nos nouveaux
amis rencontrer sur le Ferry-boat. Les
uns sont anglais, les autres Sud-africains,
un autre encore irlandais et enfin un
couple d'allemand à vélo
rencontrer à Abû Simbel.
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Loïc
en train de réajuster la boite
de vitesse avec Jasper. Autour d'eux un
aréopage de jeune venu pour les
observer.
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La même,
mais 5h plus tard. Nous leurs donnions
de véritable cours en mécanique.
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La route
pour descendre sur Dongola est exécrable.
La tôle ondulée nous fait
claquer des dents jusqu'à tard
dans la nuit. Nous roulons à 35
à l'heure maximum.
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C'est le
temps de la belle vie où l'on s'amuse
à jouer le Nicolas Hulot du moment...
Voilà l'une des trois voitures
qui nous escortait, un superbe Defender.
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Sonia et
Alexandre Poussin. Ils sont mariés
et ont décidé il y 3 ans
de remonter à pied uniquement,
le rift africain. Une très belle
histoire sur les pas de l'Homme. Nous
les avons rencontré par hasard
au commissariat de Police d'Abri. Nous
nous sommes embrassés mutuellement
dans le commissariat, nous étions
tellement heureux de nous retrouver de
manière si impromptue en plein
milieu du désert.
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Petite photo
de famille avec la bande à Neuneu
au grand complet... Nous sommes heureux
d'être là tous ensemble.
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Nos réserves d'eau
ne sont pas suffisantes comparativement
à ce que nous consommons à
savoir 7 litres d'eau en moyenne par jour.
Nous avons soif, le deuxième jour
nous décidons de trinquer avec
l'eau du Nil à la santé
d'Hydrotour. Un goût de terre certes,
mais délicieuse et riche en saveur.
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Afin de se protéger
des vents de sable, nous formons pour
le campement un carré. Nous dormons
au centre en dépliant nos lits
de camp, les autres dormaient dans leur
tente sur le toit de leur voiture.
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Le soir nous
discutions de la route de la journée
autour d'une tasse de thé. C'était
aussi l'heure où nous pouvions
avancer dans nos comptes-rendus et carnet
de route.
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Ne bougez
pas vous êtes superbes ! En fait
non, vos pantalons sont dégueus...
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Voiles sur le Nil...
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Alors que le Nil est infesté
de crocodiles. Nous décidons avec
des soudanais de nous baigner. A cet endroit
heureusement l'eau n'est pas profonde.
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Un grand père et
son petit fils. L'âne venait de
coiffer sa houppette pour la photo.
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Superbe maison en torchis
peint du village de Delgo. C'est dans
cette partie du Soudan que se trouve les
plus beaux villages en torchis.
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Le Nil n'est pas loin
et pourtant la terre est sèche,
seuls quelques arbres arrivent malgré
tout à survivre.
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Nous faisons notre linge
en roulant. Comme nous ne pouvions pas
tendre de fil au dehors de la voiture,
nous le fîmes au-dedans. Pas bêtes
les Hydrotrotters !
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En dessous de Delgo plus
de route balisée. Nous roulions
à la boussole...l'aventure jusqu'au
bout des ongles.
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Rencontre avec une caravane
de chameau. Elle remonte en Egypte par
le désert. Tient c'est bizarre,
moi qui croyait qu'il n'y avait pas de
route.
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Toujours les mêmes
bédouins. En fait renseignement
pris, les égyptiens sont de gros
mangeurs de chameau et les soudanais de
gros producteurs.
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Là vous ne le voyez
pas sur la photo mais Adrienne se plie
de plus en plus. Son châssis est
cassé.
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