L'incroyable sous-continent indien nous ouvre ses portes le 27 mars dans la ville de Chennai.

Les surprises sont de tailles et commencent en force, car Loïc y retrouve Sophie seul pendant quelques jours...

...et à la surprise générale, devant ce joli sourire, il a craqué! Et il l'a demandée en mariage. Ils sont donc fiancés, mais toujours loin l'un de l'autre car Sophie est retournée au Vietnam et nous continuons notre projet.

La plage de Mahabalipuram à 50Km au sud de Chennai (Madras).

La pèche traditionnelle est encore importante sur ces plages pour le plaisir des touristes.

Premier contact avec la brutalité de l'Inde, ce dauphin ne sera sans doute jamais enlevé de la plage...

Chaque temple est associé à l'eau. Ici, cette grande baignoire permettait sans doute au pèlerins de faire leurs ablutions.

Je n'ai besoin de personne en....Trop la classe....

L'Inde nous offre de jour en jour plus de photos. Ici lors d'une sortie en moto dans la campagne de Pondichéry nous avons eu le plaisirs de voir ces jeunes se rafraîchir après un match criquet.

L'irrigation est très importante pour le riz (il faut 5000L d'eau pour un kg de riz) surtout dans l'état du Tamil Nadu où l'électricité gratuite permet aux pompes électriques de fonctionner à plein régime. Mais le niveau de la nappe baisse de manière alarmante.

Dans le sud de Pondichéry, un très beau filet que les pêcheurs de ce petit village utilisent quotidiennement.

Pas très farouches et toujours prêts à poser pour une photo, les enfants avident de découvertes et heureux de pratiquer leur anglais, nous permettent de n'être jamais seul.

Grande réunion autour des visiteurs assis sur différents types de filet de pêche. Si les touristes sont nombreux dans les villes, ils sont beaucoup plus rares dans les campagnes et toujours l'objet de milles attentions.

Ce qui les amuse le plus est sans doute de se voir sur le petit écran de notre appareil numérique une fois la photo prise.

Voilà le genre de bus que nous empruntons pour nous déplacer. Ils traversent les villages sur les chapeaux de roues en klaxonnant comme des malades. Garez-vous et vivent les boules Quies!

Adorables petits bonshommes dans la station de bus, mais hélas obligés de mendier pour survivre.