Adrienne juste après l'accident devant l'hôtel Casa d'Or. Vu de loin ça n'a pas l'air bien grave.

Tout compte fait si... C'était la première nuit que nous dormions dans ce luxueux hôtel payé par la famille Doummar. La veille nous fanfaronnions en laissant les clefs au portier. Nous avons vite déchanté.

A 9 heure du matin alors que nous prenions tranquillement notre petit déjeuner, la serveuse vient nous trouver en versant convulsivement le café : "Messieurs il y a quelque chose avec votre voiture vous devez aller voir". Nous étions loin de penser que nous avions à la place de notre superbe Acadyane un accordéon...

Petit aperçu de la roue avant droite qui sait manger le trottoir... défigurée à vie.

Il s'en est fallu de peu pour que nous ne défigurions pas par la même occasion le chauffeur de bus en chemise bleue à la gauche de Geoffroy.

Un des carrossiers qui a travailler à redonner à Adrienne ses lignes athlétiques.

Dommage pour les installations électriques de papa. C'est à coup de chalumeau et de marteau que ces maîtres forges ont oeuvré.

Nous allions quasiment tous les jours voir l'avancé des travaux. Là, c'est soit disant une heure avant la fin.

N'ayant pas prévu de nous repayer un pneu, ni une jante, l'assurance avait donné comme instruction de prendre notre roue de secours...Non non c'est pas comme ça que ça marche les gars !

4 heure après, fignolage électrique.